cela fait un moment que je me pose cette question : « Est-il possible de développer des compétences qui sont à l’opposé de ce que l’on est naturellement ? »

alors la question d’apres c’est qu’est-ce qui fait que à un moment de ma vie je me met un objectif qui , 15 ans auparavant était du domaine du rêve (ou du cauchemar)

je me rends compte que tres regulierement le matin ou le soir, je fais le tamis de ce qui s’est passe d’important pour moi dans la journee et essaye d’en tirer des conclusions. Je ne sais pas depuis quand je fais ca mais je vois bien que c’est une strategie payante pour moi. Ca m’aide a faire le tri, clarifier, demander de l’aide quand c’est necessaire, parfois ce me destabilise aussi.

Avec du recul je crois qu’il y a une étape importante c’est la conscrience de soi. Avec la conscience de soi, on passe d’une situtation de flou sur nos capacités, nos compétences, etc. à une situation ou l’on percoit la fameuse zone de maitrise qui corresponds aux compétences et aux capacités qui nous paraissent naturelle, que l’on sait utiliser sans trop savoir qu’on les utilise. Ensuite une zone de tension, cette zone ou l’on est capable d’utiliser certaines compéteneces en se faisant violence, en allant chercher de la force, de l’energie pour y arriver. Puis une sorte de barrière qui correspond à nos croyances limitantes. Cette barrière nous dit que l’on ne peut pas aller au dela, que les compétences, les capacités qui sont derrière cette barrière, c’est pas pour nous. Mais cette barrière n’est pas trés haute, on peut voir ces compétences et plus elles nous parraissent innaccessible plus elles sont loin jusqu’a l’horizon des possibilités. Cet horizon, c’est comme l’horizon que l’on observe lorsqu’on est sur un bateau : ce n’est pas rééllement la fin de quelquechose mais la rotondité de la terre et l’éloignement nous empêche de même imaginer qu’il y a qqc au dela. Il faudrait se rapprocher pour cela.

Cette métaphore c’est la métaphore se nos progrés et de notre developpement.